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PROGRAMME

 

Une crèche provençale de près de 300 santons 

             avec son spectacle "sons et lumières"

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Des mini-crèches du monde entier

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Des crèches familiales éclairées

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Une collection de santons dont certaines pièces exceptionnellement présentées datant des deux guerres

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Un arbre humanitaire rassemblant diverses expressions du mail art sur le thème de Noël

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Une nativité d'inspiration médiévale présentée en grands formats

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Des photographies de nos églises présentées par les artistes

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Des chants, de la musique

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De l'artisanat local

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Un petit bar chaud et froid

 

Vernissage le vendredi 20 décembre dès 19h00, verre de l'amitié, remise d'une statuaire "historique" à l'église avec mot explicatif par la propriétaire et présentation des crèches et des œuvres, spectacle "sons et lumières" à 21h00

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Visite libre de l'exposition le samedi de 14 à 18h, contes et chants de Noël à 17h00

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Visite libre de l'exposition le dimanche de 14 à 18h, chants religieux en continu 

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Weekend de l'Avent à Ham s/S les 9,10 et 11 décembre

Dates à retenir

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Samedi 23/09: Réouverture officielle de l’église Saint Frédegand en présence des autorités communales.

18h00 Messe en inter paroissial en l’église Saint Frédégand à Moustier

 

Rentrée de l’année pastorale pour Moustier et Mornimont

 

Dimanche 24/09 : 11h00 Journée décanale à Ermeton

 

Dimanche 01/10 : 11h00 Rentrée pastorale pour Ham S/S

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CATECHISME

Comme vous l’avez déjà appris, la préparation à la première communion se fait désormais en 3 ans tandis que celle à la profession de Foi se fait en deux ans en attendant de commencer le nouveau cheminement selon les nouvelles propositions du service diocésain de la catéchèse.

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Equipe des catéchistes de Ham S/S

Première Communion :

Monique Possamai : 071/78.39.03 ou 0497/40.62.32

Anne Sophie : 071/19.30.32 ou 0479/49.06.32

Geneviève Drèze : 0479/26.67.43

Profession de Foi :

Ariane Rueda : 071/78.13.97

Claudine Houtain : 071/78.64.66

 

Equipe des catéchistes de Moustier et Mornimont

Première Communion :

Viviane Leclercq 0496/40.48.55

Pascale Devroey 0495/30.94.73

 

Profession de Foi :

Emmanuelle Warroquiers 0472/80.80.31

Marie Annick Guyot 0495/82.57.34

Le weekend des 9,10 et 11 décembre, la paroisse de Ham s/S, représentée par l'abbé Simon Ntoto, le Président de la Fabrique, José Drèze, le Président des Oeuvres Paroissiales, Benoît Tasnier et la Sacristine, Evelyne Colson, vous invite à découvrir gratuitement une exposition dédiée aux crèches et aux décorations de Noël.

 

Présentations guidées, livret explicatif, découverte audio sont au programme. ce sera également l'occasion pour nous de vous faire découvrir une pièce unique appartenant à la paroisse : un relief du XVIIIème sicèle représentant les Noces de Cana (bois, cuir, étoffes et cire). Vernissage de l'exposition le vendredi 9 décembre dès 19h00 en l'église paroissiale St Victor de Ham-sur-Sambre.

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Le dimanche 11 décembre, dès 15h00, grand tour de chant totalement gratuit de quatre chorales : la Rouanne de Jemeppe-sur-Sambre, le Choeur de Moustier, Salons chantants et Art-y-Chaud ... sous les houlettes éclairées de Pascale Devroey, Florence Delvigne et Richard Drèze. 

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Ce samedi 19 novembre 2016 est un jour de fête pour le diocèse d’Avignon. Le père carme Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus a été béatifié à 11 heures au Parc des expositions de la cité papale au cours d’une messe présidée par le cardinal Angelo Amato, préfet de la Congrégation pour les causes des saints. Dans son homélie, il a relevé  trois caractéristiques de la vie du père Marie-Eugène : la prière comme expression de la foi, l'abandon à la Providence et la joie comme expression de la charité. La fête locale du nouveaux bienheureux est fixée au 4 février.

Né en 1894, Henri Grialou entre chez les carmes en 1922 où il reçoit le nom de Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus. Prédicateur, directeur spirituel, grand interprète des maitres du carmel, il fonde en 1932 l’Institut séculier Notre-Dame de Vie qui s’est depuis répandu à travers le monde.

Béatification : notre abbé, Pascal Marie Jerumanis y était !

Canonisation de Mère Teresa

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C’est l’un des points d’orgue de l’Année sainte de la Miséricorde : le Pape a inscrit Mère Teresa, fondatrice de la congrégation des Missionnaires de la Charité au calendrier des Saints ce dimanche 4 septembre 2016, devant 120 000 fidèles qui participent à la messe de canonisation.


Dans son homélie, le Pape a rappelé que «partout où il y a une main tendue qui demande une aide pour se remettre debout, doit se percevoir notre présence, ainsi que la présence de l’Église qui soutient et donne espérance». François rappelle que les chrétiens sont appelés à traduire dans le concret ce qu’ils invoquent dans la prière et qu’ils professent dans la foi. «L’engagement que le Seigneur demande est l’engagement d’une vocation à la charité». Un engagement «sérieux», mais joyeux qui demande «radicalité et courage».

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Le Saint-Père rend également hommage à la nouvelle sainte qu’il continue d’appeler Mère Teresa, «il serait un peu difficile de l’appeler sainte Thérèse», glisse-t-il dans un sourire. En se rendant disponible à travers l’accueil et la défense de la vie humaine, Mère Teresa a été tout au long de sa vie une «généreuse dispensatrice de la miséricorde divine». Elle s’est dépensée dans la défense de la vie dans le sein maternel comme la vie abandonnée et rejetée. Elle s’est penchée sur les personnes abattues qu’on laisse mourir au bord des routes ; elle a fait entendre sa voix aux puissants de la terre, afin qu’ils reconnaissent leurs fautes.

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Mère Teresa, une sainte de la miséricorde. «La miséricorde a été pour elle le ‘‘sel’’ qui donnait de la saveur à chacune de ses œuvres, et la ‘‘lumière’’ qui éclairait les ténèbres de ceux qui n’avaient même plus de larmes pour pleurer leur pauvreté et leur souffrance».


Sa mission perdure de nos jours comme un témoignage éloquent de la proximité de Dieu aux pauvres parmi les pauvres, souligne le Pape. François a remis ce dimanche «cette figure emblématique de femme et de consacrée au monde du volontariat : qu’elle soit votre modèle de sainteté !» s’est-il exclamé.

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Mère Teresa, un «infatigable artisan de miséricorde» dont il espère qu’il nous aidera à comprendre toujours mieux que «notre unique critère d’action est l’amour gratuit, libre de toute idéologie et de tout lien et offert à tous sans distinction de langue, de culture, de race ou de religion». François a enfin demandé à chacun de porter le sourire de la sainte en leur cœur et de l’offrir à leur prochain pour «ouvrir des horizons de joie et d’espérance à tant de personnes découragées».

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Radio Vatican

Catéchisme
Depuis l’année écoulée, un nouveau rythme de parcours catéchétique s’est dessiné dans nos différents diocèses de Belgique. La préparation à la célébration de la première communion se fait désormais en trois ans et non plus en un an. Et cela commence dès la première année primaire.

 

Tout changement entraîne des réticences et des désagréments.


Dans notre secteur, nous avons voulu y aller à notre rythme de concert avec les catéchistes qui sont les plus proches des parents. Ainsi nous avions décidé, pour ne pas trop brusquer les parents qui s’y prennent très tôt dans leurs prévisions festives, de passer par une année de transition. Concrètement, nous avons démarré la préparation à la première communion avec les enfants qui viennent de terminer leur première année primaire et qui auront encore la possibilité de célébrer  leur première communion en deuxième année primaire, c’est-à-dire en 2017. Pour ceux qui vont entrer en première année en septembre 2016, pour autant que les parents le souhaitent, ceux-là célébreront leur première communion quand ils seront en troisième année, c’est-à-dire en 2019, mais en débutant le catéchisme cette année-ci.


Une autre nouveauté dans ce parcours catéchétique, nous sollicitons l’implication des parents ou d’autres membres de la communauté pour essayer de créer une dynamique intergénérationnelle dans ce cheminement de découverte de la personne de Jésus-Christ et de son message.


Avec un peu de bonne volonté, ce cheminement est possible et peut nous aider tous à redécouvrir qui est Jésus pour nous et quel est son message. Une occasion de nous redécouvrir chrétiens dans ce monde en mutation où notre "être chrétien" est mis au défi.


Des évenèments à retenir
Weekend du 2021 Août: Ravel des BBQ devant l’église de Mornimont
Dimanche 4 septembre à 15h00 à Auvelais: Célébration du sacrement des malades et eucharistie pour les malades du doyenné
Dimanche 18 septembre: Aprèsmidi du jubilé de la miséricorde en doyenné à Walcourt

 

 

MOIS DE MAI, MOIS DE MARIE

 

La dédicace d'un mois à une dévotion particulière est une forme de piété populaire dont on ne trouve guère l'usage avant le XVIIIème  siècle. Ainsi dix fêtes marquantes du calendrier ont donné une teinte particulière à tous les jours du mois concerné, sauf février et avril

Janvier est le mois du Saint Nom de Jésus depuis 1902 ; mars, le mois de Saint Joseph, depuis 1855 ; mai, mois de Marie est le plus ancien et le plus connu des mois consacrés, officiellement depuis 1724 ; juin, le mois du Sacré-Coeur depuis 1873 ; juillet, le mois du Précieux Sang depuis 1850 ; août, le mois du Cœur Immaculé de Marie ; septembre, le mois de Notre Dame des Douleurs depuis 1857 ; octobre, le mois du Rosaire depuis 1868 ; novembre, le mois des Âmes du Purgatoire depuis 1888 ; décembre, le mois de l'Immaculée Conception. Cela fait cinq mois de l'année consacrés à la piété mariale.

 

Anciennement, le mois de mai était dévolu à la déesse de l'enfantement et de l'accouchement, Maïa (songez à la célèbre maïeutique de Socrate), fille d'Atlas et Pléioné et donc une pléiade, mère d'Hermès, Dieu des messagers, dont le nom signifie littéralement "petite mère", ce qui renvoit pour l'historien amateur à la sage-femme ou à la grand-mère, le principe créateur féminin.

 

Le mois de Marie, apporté par les chrétiens, est donc l'expression de l'importance de la mère divine et se termine par la fête de la Visitation (31 mai), date suggérée à laquelle Marie enceinte rend visite à sa cousine Elisabeth (enceinte pour sa part de Jean-Baptiste).

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